Marie Le Pen kritisiert die weiteren Zahlungen an Griechenland. Frankreich könne sich das nicht leisten. Frankreich habe selber große Probleme die Sozialleistungen für Franzosen und Frankreich aufrecht zu erhalten. Frankreich könne selber in Schwierigkeiten kommen wenn diese Verschleuderung nicht aufhöre.
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
François Fillon vient d’annoncer le coût pour la France du nouveau plan d’aide à la Grèce : 15 milliards d’euros, qui s’ajouteront aux 17 milliards du premier plan, et qui alourdiront d’autant notre propre dette, déjà colossale !
Il est presque certain que les Français ne reverront jamais leur argent, alors même que ces 15 milliards ne produiront pas plus de résultats que les précédents.
Pour strictement rien, on prive les Français d’un argent plus précieux que jamais, on creuse dangereusement notre dette et on prépare les impôts de demain !
Nos enfants et nos petits-enfants devront payer cette politique irresponsable de Nicolas Sarkozy, qui dilapide aux quatre coins de la zone euro notre argent.
Nos enfants et nos petits-enfants devront payer cette politique irresponsable de Nicolas Sarkozy, qui dilapide aux quatre coins de la zone euro notre argent.
Marine Le Pen, Présidente du Front National, demande que la France refuse de participer à tout nouveau plan de sauvetage d’un pays de la zone euro.
Les centaines de milliards versés ne produisent aucun résultat et nous poussent dans le précipice du surendettement, alors que la dette française a déjà explosé sous le mandat de Nicolas Sarkozy (+ 500 milliards d’euros depuis 2007) ! Cette fuite en avant mettra rapidement la France elle-même dans le viseur des marchés financiers.
Les centaines de milliards versés ne produisent aucun résultat et nous poussent dans le précipice du surendettement, alors que la dette française a déjà explosé sous le mandat de Nicolas Sarkozy (+ 500 milliards d’euros depuis 2007) ! Cette fuite en avant mettra rapidement la France elle-même dans le viseur des marchés financiers.
En ces temps de crise, d’extrêmes difficultés à financer nos retraites et notre protection sociale, l’argent que les Français ont gagné doit évidemment rester aux Français. Cette folle gabegie doit cesser : il est temps de s’attaquer au vrai problème, l’euro.